Un Chrétien doit-il célébrer Noël

Publié le par Hilkija

 
Il n’y a aucune confirmation biblique, précédente, ou instruction indiquant que
nous devons commémorer le jour de la naissance du Christ comme un jour de
célébration religieuse. Ceci ne veut pas dire que nous ne devons pas nous
souvenir de la naissance du Christ et sa signification, mais pour une
commémoration ou célébration religieuse, il faut avoir l’autorisation ou
l’instruction de la Bible. Le fait est que—l’église d’autrefois ne célébrait
pas la naissance du Christ, mais ce genre de célébration est seulement apparue dans l’église avec la « Christianisation » de la liturgie des paûens et que le catholicisme fut déclaré par Constantin comme étant la religion de l’état dans le quatrième siècle A.V. Comme la parole de Dieu ne supporte pas la tradition de Noël, la conscience d’un Chrétien ne devrait pas et ne doit pas y être soumis.
 
Ce qui suit décrit l’origine de Noël (avec ses coutumes, symboles, et
terminologie), détaille le support des Saintes Écritures contre la célébration
de Noël, tente à montrer que célébrer Noël viole l’esprit de chacun des dix
commandements, tente à démontrer que célébrer Noël ne tombe pas dans le régime de la liberté Chrétienne, et tente à démentir huit des rationalisations majeures que des Chrétiens ont mit de l’avant pour célébrer Noël.
A. L’origine de Noël
Une Longue Évolution—Les coutumes de Noël sont une évolution d’un temps très loin avant la période des Chrétiens—une descendance de pratiques
saisonnières, païennes, religieuses, et nationaux, avec légende et tradition.  
Leurs connections saisonnières avec les festins de l’hiver solstice des païens,
les relies avec les temps anciens, quand les habitants de la terre adoraient le
soleil. Pendant que les païens superstitieux observaient le soleil bouger
graduellement vers le sud dans les cieux et voyaient les journées devenir plus
courtes , ils croyaient que le soleil disparaissait pour ne plus revenir. Pour
encourager le retour du soleil vers le nord (i.e., pour lui donner le pouvoir de
Dieu et pour le ramener à la vie), les Dieux du soleil étaient adorés avec des
rituels et des cérémonies élaborés, incluant bâtir de gros feux de camp, décorer
avec de grosses plantes vertes, et en faisant des représentations d’oiseaux
d’été comme décorations de maison. Le solstice d’hiver, à ce temps-là, était le
jour le plus court de l’année, quand le soleil semblait immobile dans le ciel du
sud. Observant le ralentissement dans le mouvement du soleil vers le sud, et son arrêt, les païens croyaient que leurs pétitions avaient réussit. Un temps de
réjouissements non-restraints se produisait, avec hommage, alcool, et des
festins excessifs. Ensuite, quand les païens observaient le soleil qui bougeait
de nouveau vers le nord, et qu’une semaine plus tard pouvaient déterminer que
les journées devenaient plus longues, une nouvelle année était proclamée
  
B. Ce qui n’était pas parmi les premiers festivals ChrétiensNoël ne faisait
pas parti des premiers festivals de l’église. Ce n’était pas célébré,commémoré,
ou observé, ni par les apôtres ou dans l’église apostolique—pour au moins les
premières 300 années de l’histoire de l’église! L’histoire révèle qu’en environ
440 A.V., l’église de Jérusalem a commencé la célébration de Noël, suivant la
directive du Catholicisme romain (voir I.C.). C’était suffisant pour les
premiers Chrétiens que Jésus, leur Seigneur et Sauveur, était né. Ils
glorifiaient Dieu parce que Jésus était indéniablement venu en chair et en os.  
Le jour et l’heure de Sa naissance étaient sans importance pour eux, parce que Jésus n’était plus physiquement sur terre. Il était de retour dans les cieux. Et c’était vers le Christ ressuscité, et exalté dont ils s’adressaient, et que par
la foi—non un bébé dans une étable. Jésus-Christ n’est plus un bébé; n’est
plus un « Christ-enfant, » mais le Maître exalté de tous. Et il ne revient PAS
pour une raison ou une autre sur la terre en forme de bébé chaque année au temps de Noël—malgré que c’est l’impression donnée par certains cantiques dans les services Protestants.
 
C. Le Rôle de la Religion dans la ville de Rome d’autrefois Apparemment
oublié est le rôle essentiel que la religion jouait dans l’ancienne Rome. Mais
l’Empereur Constantin comprenait. En donnant le statut officiel au Christianisme, il apporta la paix interne à l’Empire. Un brillant commandant
militaire, il avait aussi le génie de reconnaître qu’après avoir déclaré le
Christianisme comme étant la religion de l’état (Constantin a forcé tous les païens de son empire à être baptisés dans l’église romaine), il y avait un besoin d’unir le paganisme et le Christianisme. L’église romaine corrompue était remplie de païens maintenant mascaradant comme Chrétiens, qui tous devaient être pacifiés. Quelle meilleure façon de « Christianiser » leurs idolâtries païennes.  
Ainsi, les religions Babyloniennes mystérieuses fut introduites par Constantin
débutant en 313 A.V. (et établirent une position avec le conseil de Nicaea en
325 A.V.). L’église romaine conduite par Constantin était plus que consentante à adapter et adopter les pratiques païennes afin de rendre le Christianisme plus savoureux. Constantin utilisa la religion comme outil politique, totalement
dépourvue d’aucune spiritualité véritable.
·       Les rituels Païens et idoles prirent des noms Chrétiens
(e.g., Jésus Christ était présenté comme le soleil de la divinité - Malachi 4:2 - remplaçant le Dieu du soleil Sol Invictus).
 
Les fêtes Païennes fût reclassifiées comme des fêtes Chrétiennes.  
Le 25 décembre était le Festival de la « Victoire du Dieu du Soleil » dans le
monde Babylonien des païens. Dans l’ancien Empire Romain, la célébration peut être retracée jusqu’au festival Romain Saturnalia, qui honorait Saturne, le dieu de la moisson, et Mithras, le dieu de la lumière; les deux; les deux étaient
célébrés pendant ou peu après l’hiver solstice (entre le 17 et 23 décembre).  
Pour toutes les anciennes civilisations païennes, le 25 décembre était le jour
de naissance des dieux—le temps de l’année où les jours commençaient à
allonger et l’homme était béni d’une « régénération de la nature ». De plus,tous
les festivals Babyloniens et Romains du 25 décembre étaient caractérisés de
célébrations par périodes de 5-7 jours de réceptions et dévergondage
non-restraints ou orgiaques.
Le 25 décembre était particulièrement important dans le culte de Mithras, une
divinité populaire dans le Vieil Empire Romain. Robert Myers (un souteneur pour célébrer Noël) dans son livre Célébrations dit, « Avant la célébration de Noël, le 25 décembre dans le monde Romain était le Natalis Solis Invicti, la Fête du Soleil Invincible. Ce festin, qui prenait place juste après l’hiver solstice du calendrier Julien, était à l’honneur du Dieu du Soleil, Mithras, originairement une divinité Perse dont le culte pénétrait le monde Romain dans le premier centenaire B.C.... En plus de l’influence Mithraic, d’autres troupes étaient à l’œuvre. À partir du 17 au 23 décembre, les Romains célébraient l’ancien festin de Saturnalia. ... C’était commémoratif de l’âge D’or de Saturne, le dieu des semailles et culture. »
Afin de rendre la Christianité plus acceptable aux païens, l’Église Romaine a
simplement prit Saturnalia, l’a adoptée dans la Christianité, et ensuite éventuellement beaucoup de symboles, formes, coutumes, et traditions associées aux païens fût réinterprétés (i.e., « Christianisés ») dans des manières « acceptables » à la foi et pratiques des Chrétiens.  
(De fait, en 375 A.V., l’Église de Rome sous le Pape Julius 1 annonça simplement que la datte de naissance du Christ fût « découvert » être le 25 décembre, et était accepté comme tel par les « fidèles ». Le festival de Saturnalia et l’anniversaire de Mithras pouvaient maintenant être célébrés comme l’anniversaire du Christ!) Les païens sont venus en masse dans les endroits Catholiques d’adoration, parce qu’ils étaient encore capables d’adorer leurs dieux, mais simplement sous de différents noms. Cela leur importait guère s’ils adoraient la déesse mère Égyptienne et son enfant sous les anciens noms (Isis et Horus), ou sous les noms de la « Vierge Marie » et « l’enfant Christ. » D’une façon ou l’autre, c’était la même ancienne idol-religion (cf. 1 Thes. 1:8-10; 5:22 --
Paul dit de se détourner des idoles, et non les renommés et les Christianisés).  
Le Noël du Catholicisme Romain est rien de plus que du paganisme« baptisé », étant venu beaucoup trop tard pour faire partie de la « foi autrefois livrée envers les saints » (Jude 3).
D. « La Christianisation » des Coutumes, Symboles, et Terminologie—le
Christianisme a dû subir une transformation pour que Rome païen puisse
« convertir » sans pour autant abandonner ses anciennes croyances et rituels.  
L’effet actuel était de paganiser le Christianisme officiel. « Une religion
combinée avait été fabriquée, de laquelle... le Christianisme fournissait la
nomenclature, et les doctrines et droits du Paganisme. L’idolâtrie dans le monde Romain, même dépourvue de sa prééminence, n’avait sous aucuns moyens été démolie. Au lieu de ceci, la nudité païenne fut couverte avec le costume d’une Christianité déformée » (W.E. Vine). Les coutumes Païennes impliquant vêtements,
chandelles, encens, images, et processions étaient toutes incorporées dans
l’adoration de l’église et se poursuivent aujourd’hui même.  
Les coutumes et traditions suivantes associées avec Noël ont toutes des origines
païennes. (« Noël » est la forme préférable pour ce jour, puisque au moins elle
laisse le nom de notre Sauveur hors de l’observation païenne.) Naturellement,
les Chrétiens ne gardaient pas ces coutumes pour de telles néfastes et perverses raisons, mais le fait de leurs origines restent—« les statuts (coutumes) des peuples ne sont que vanité » (Jer. 10:3), et devraient de cette façon être prudemment considérés par ceux qui connaissent et aiment le Seigneur:
Le blasphématoire « Messe de Christ » abrégé à « Christ-mas «  (Noël) -- la « Messe
du Christ » est une messe spéciale exécutée en célébration de la naissance du
Christ. Dans cette messe Jésus est considéré comme prêtre et victime, représenté par le prêtre Catholique qui l’offre en sacrifice chaque fois que la messe est pratiquée. En offrant ce « sacrifice », le prêtre croît avoir le pouvoir de changer le pain et le vin de la Communion en la chair et le sang littéral de
Jésus exigeant le peuple à adorer ces éléments comme Dieu lui-même. Ceci est  évidemment un rejet de l’évangile, et de ce fait, une fausse évangile (une
répétition du sacrifice pour le péché—Héb. 9:12, 24-26; 10:10, 12, 14).
 
Cependant, ceux qui protestent toute l’année longue contre le système blasphématoire Catholique Romain, vers la fin de l’année embrassent l’abomination la plus blasphématrice entre toutes abominations—Noël!  Scènes de Nativité (teintées de paganisme) -- Presque toutes formes d’adoration païennes descendent des mystères Babyloniens, qui dirigentl’attention sur la « mère-déesse » et la naissance de son enfant. Ceci était adapté à l’adoration
« Marie-Jésus », lequel accommodait facilement la multitude de païens« convertis » au Christianisme en dedans de l’Église catholique romaine de Constantin. (Si quelqu’un érigeait des statues (i.e. images) de Marie et Joseph par eux-mêmes, plusieurs en dedans des cercles Protestants crieraient « Idolâtrie »! Mais pendant la période de Noël, une image d’un petit bébé est placée parmi les images de Marie et Joseph, et ça se nomme une «  (scène de nativité). » D’une manière ou d’une autre, l’idole-bébé « sanctifie » la scène, et ce n’est plus considéré comme de l’idolâtrie! ) (cf. Ex. 20:4-5a; 32:1-5; 9-10a).  3. Arbre de Noël—Les sapins verts, à cause de leur habilité à demeurer verts durant toute la saison d’hiver quand presque toutes autres formes de végétation sont dormantes, ont longuement symbolisé immortalité, fertilité, potentiel sexuel, et reproduction, et étaient souvent apportés dans les demeures et érigés comme des idoles.
La pleine signification mystique du sapin peut être seulement comprise quand une personne considère la vénération profonde que les anciens païens avaient pour tout phénomène naturel—« Pour eux, la Nature était vivante partout. Chaque fontaine avait son âme, chaque montagne sa divinité, et chaque eau, pinède, et prairie, leur association surnaturel. Le murmure des arbres... était la parole subtile des dieux qui demeuraient en dedans » (W.M. Auld, Traditions de Noël).
 
Ceci n’est rien de plus que de l’adoration de la nature ou de l’Animisme.  
La coutume d’apporter l’arbre dans la demeure et le décorer comme on le fait
aujourd’hui est légendairement attribuée à Martin Luther. En vérité, la coutume
moderne a été perdue dans l’obscurité, mais presque toute culture a pareille
tradition. Pendant des siècles, le sapin fût apporté dans la maison durant
l’hiver comme symbole magique de chance et d’espoir pour une année fructueuse à venir. Ça peut aussi être que l’étoile au sommet des arbres d’aujourd’hui n’est pas originaire comme une représentation de l’étoile dont les rois mages suivirent, mais plutôt une représentation des étoiles envers quoi les anciens astrologues Chaldéens regardaient pour guidage.  
La première décoration d’un sapin a été faite par des païens en honneur de leur dieu Adonis, qui après avoir été tué fût ramené à la vie par le serpent
Aesculapius. La représentation du décédé Adonis était la souche morte d’un
arbre. Autour de cette souche était enroulée un serpent—Aesculapius, symbole de restitution à la vie. De les racines de cet arbre mort, alors venait de
l’avant un autre et différent arbre—un sapin vert, symbolique aux païens d’un dieu qui ne peut mourir! À Babylone, le sapin représentait la naissanceréincarnation de Nimrod comme son nouveau garçon (Sun)- (Soleil)
Tammuz. En Égypte, ce dieu était adoré dans un arbre palmier comme BaalTamar.
 
(Les païens de Canaan aussi adoptèrent l’adoration de l’arbre, l’appelant le
Asherah—un arbre avec ses branches coupées était sculpté dans un symbole
phallique.) Le sapin était adoré à Rome comme le même dieu nouveau-né, nommé Baal-Berith, qui fût restitué à la vie par le même serpent. Un festin eu lieu en son honneur le 25 décembre, observé comme le jour dont le dieu est réapparut sur terre—il fût tué, et est « né de nouveau » en ce jour, victorieux sur la mort!  
C’était nommé « Fête du Soleil invincible ». Par conséquent, la coutume annuelle
d’ériger et de décorer les arbres fût apporté à travers les siècles par l’Église
catholique romaine païenne—le paganisme de Tammuz et Baal, ou l’adoration du soleil, mêlé avec l’adoration d’Aesculapius le serpent. Qu’il soit érigé dans
les maisons privées ou dans les églises, décoré ou pas, l’arbre est un symbole
flagrant de ce faux dieu.
4. Couronnes de Noël—Dans la mythologie païenne, arbre veut dire la vie
éternelle et une existence qui ne meurt jamais. Fait de sapins verts, les
couronnes de Noël étaient plus fréquemment rondes, qui symbolisaient le soleil
(comme les auréoles dans la plupart des arts religieux). Dorénavant, la forme
ronde peut être aussi reliée au signe de la femelle, qui représente la
régénération de la vie. À cause de ces associations païennes, l’église
Chrétienne était au départ hostile envers l’usage de couronnes et d’autres
arbres dérivés. Mais de la même manière elle Christianisait d’autres traditions
païennes, l’église a vite trouvé une manière de conférer ses propres
significations symboliques. Par exemple, les feuilles affûtées et pointues du
houx « mâle » représentait la couronne d’épines du Christ et les baies rouges Son sang, pendant que le lierre « femelle » symbolisait l’immortalité ( Sulgrave
Manor, « Un Noël Tudor, » p. 6) Pareilles couronnes maintenant non seulement
ornent les églises au temps de Noël, mais apparaissent aussi durant la saison de Pâque.
 
5. Le Gui—L’usage de la plante du gui (qui est poissonneux pour l’homme et
les animaux) peut être retracé jusqu’aux anciens Druides. ( Les Druides étaient
des prêtres Celtiques et païens qui étaient considérés être des magiciens et
enchanteurs.) Cela représentait le faux « messie », considéré être par les Druides comme une branche divine qui était tombé du paradis et qui avait poussé sur un arbre sur terre. Ceci est une corruption évidente de la Parole prophétique de Dieu concernant le Christ, «  l’Homme la Branche », venant du paradis. Le gui symbolisait la réconciliation entre Dieu et l’homme. Et puisque le baiser est le symbole bien connu de la réconciliation, voici comment «  baiser sous le gui »est devenu une coutume—les deux étaient des signes de réconciliation. Le gui, étant une plante sacrée et un symbole de fertilité, dont on croyait qu’il contenait certains pouvoirs magiques, ayant été apporté du paradis à la terre par un muguet le portant dans ses orteils (d’où provient le nom). Il était autrefois connu comme la « plante de paix, » et dans l’ancienne Scandinavie, les ennemis étaient réconciliés sous lui (encore une raison pour laquelle les gens sont venus à « s’embrasser sous le gui »). C’était supposé apporter « la chance » et fertilité, et même protéger la maison dans laquelle il était accroché contre la sorcellerie.
Un baiser est aussi quelque chose qui est, parfois, associé avec le désir. Ainsi
la pratique de «  baiser sous le gui » avait aussi des racines dans les célébrations orgiaques en rapport avec la cérémonie Celtique du Milieu de l’Été.  
En ce temps le gui était amassé, les hommes s’embrassaient comme une manifestation de leur homosexualité. (La coutume fût plus tard élargi pour
inclure hommes et femmes.) Baiser sous le gui rappelle aussi le temple de
prostitution et la licence sexuel prolifiquant durant Saturnalia Romain.  
6.Saint Nicholas—Saint Nicholas ou « Père Noël » est une corruption du
Hollandais « Sant Nikolaas. » (« Saint Nicholas » était l’évêque Catholique du 4ième siècle de Myra en Asie Minor, qui donnait des friandises aux enfants; Il fût canonisé par l’Église catholique romaine, » considéré comme un ami spécial et protecteur d’enfants. » Le costume rouge vient du fait que les évêques et les cardinaux Catholiques en Italie portent le rouge.) Saint Nicholas était aussi connu comme « Kriss Kringle, » une corruption du « Christ Kindl » Alleman.
Enfant Christ. Ceci doit être un des plus subtils blasphèmes de Satan, cependant la plupart des Chrétiens sont inconscients de ça.  
Au départ, le concept du Père Noël venait du dieu païen Égyptien, Bes, un
rondelet, genre lutin personnage qui était le protecteur des petits enfants.  
C’était dit que Bes demeurait au Pole Nord, travaillant toute l’année pour
produire des jouets pour les enfants qui avaient été bons et obéissants envers
leurs parents. En hollandais, il était nommé « Sinter Klass. » Les habitants
hollandais apportèrent la coutume en Amérique. En Hollande et d’autres pays
européens, le Père Noël original était actuellement un macabre personnage qui
traversa la campagne, déterminé à savoir qui avait vraiment été « vilain ou
agréable ». Ceux qui s’étaient mal conduit étaient sommairement changés.  
L’association du Père Noël avec la neige, les rennes, et le Pole Nord suggèrent
des traditions scandinaves ou Norroises de la saison de Noël. (En Babylone,
aussi, le renne était un symbole du puissant, Nimrod. Le symbolisme des ramures portées sur la tête d’un noble chef démontrait sa prouesse comme chasseur, et alors, influence les gens à le suivre.)
Le Père Noël est un substitut blasphémateur pour Dieu! Il lui est donné
systématiquement des pouvoirs surnaturels et des attributs divins que Dieu seul
possède. Pensez-y. On le rend omniscient—il sait quand chaque enfant dort, se réveille, a été méchant ou bon, et sait exactement ce que tous les bons enfants veulent (cf. Psa. 139: 1-4). On le rend aussi omniprésent—pendant une nuit de l’année il visite tous les « bons enfants » dans le monde et leur laisse des présents, apparemment étant partout en même temps. On le rend aussi omnipotent
-- il a le pouvoir de donner à chaque enfant exactement ce que chacun d’eux
veut. De plus, on fait du Père Noël un juge souverain—il ne répond à personne
et personne a autorité sur lui, et quand il « vient en ville, » il vient avec un
sac plein de récompenses pour ceux dont la conduite fût acceptable à ses yeux.  
Le Père Noël est devenu un des mythes le plus populaire et largement accepté et non opposé à être tissé avec succès dans le tissu et la structure du Christianisme. C’est un fait que le Christ est né, et cette vérité devrait
réjouir énormément le cœur de chaque Chrétien. Mais le mythe du Père Noël
déforme la vérité de la naissance du Christ en mêlant subtilement la vérité avec
le mythe du Père Noël. Quand des parents Chrétiens mentent à leurs enfants
concernant le Père Noël, ils enlèvent l’attention des enfants envers Dieu leur
occasionnant à se concentrer sur un homme joufflu vêtu d’un costume rouge ayant des qualités ressemblant à celles de Dieu. Tout ceci apprend à l’enfant à croire que, comme le Père Noël, nous pouvons plaire à Dieu avec des « bons
accomplissements, » faits afin de gagner Sa faveur. Aussi, ils enseignent que peu importe à quel point l’enfant a été méchant, il sera récompensé quand-même par Dieu—comme le Père Noël ne manquait jamais d’apporter des cadeaux. Même dans les demeures de Chrétiens pratiquants, le Père Noël a déplacé Jésus dans la sensibilisation et affections des enfants, devenant l’esprit incontesté, symbole, et l’objet central de Noël.
7.  La Veille de Noël—« Yule » (Noël) est un mot chaldéen signifiant « nourrisson. » Longtemps avant la venue du Christianisme, les Anglo-saxons païens nommaient le 25 décembre « jour de Noël »—en d’autres mots, « jour du nourrisson » ou « jour de l’enfant »—le jour qu’ils célébraient comme étant la naissance du faux « messie »! Le soir avant le « jour de Noël » était nommé le « soir de la Mère ». Aujourd’hui ça se nomme « la Veille de Noël ». Et ce n’était pas nommé « le soir de la Mère » d’après Marie, la mère de notre Seigneur—« le soir de la Mère » fût observé pendant des siècles avant que Jésus soit né. Semiramis (l’épouse de Nimrod) était l’inspiration pour « le soir de la Mère, » et le « jour de l’enfant » était la supposée datte de naissance de son fils (Tammuz), l’enfant du soleil!
8.  Bûche de Noël—La bûche de Noël était considérée par les anciens Celtes
comme une bûche sacrée qui devait être utilisée dans leurs festivals durant le
solstice d’hiver; le feu procurait les promesses de chance et longue vie. La
bûche de Noël à chaque année devait être sélectionnée dans la forêt la Veille de Noël par la famille l’utilisant, et ne pouvait être acheté, ou bien les
superstitions associées ne s’appliqueraient pas. Dans le paganisme Babylonien,
la bûche placée dans le foyer représentait le décédé Nimrod, et l’arbre qui
apparaissait le matin suivant (qui aujourd’hui est nommé « l’arbre de Noël »)
était Nimrod revenu à la vie (réincarné) en son nouveau fils (soleil), Tammuz.  
(Encore aujourd’hui dans certains endroits, la bûche est placée dans le foyer
la Veille de Noël, et le matin suivant, il y a un arbre de Noël!)
La tradition de la bûche de Noël d’aujourd’hui nous parvient de la Scandinavie,
où le dieu païen du sexe-et-fertilité, Yule, était honoré par une célébration de
douze jours en Décembre. Une seule grosse bûche était entretenue par un feu
pendant douze jours, et chaque jour pendant douze jours un sacrifice différent
 

Publié dans Apostasie

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