La fête de Noël et ses origines. I

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Pour ceux qui ont à coeur de vraiment faire la volonté de Dieu et
finalement connaître toute la vérité à ce sujet et plus...
par André Foisy
 
 
 
La conférence que vous allez entendre aujourd’hui en est une un peu
spéciale. Il ne s’agit pas d’une conférence comme celles que nous
avons l’habitude de donner, à propos des évènements mondiaux et des
prophéties bibliques.
Nous constatons qu’à cette époque de l’histoire de l’humanité, à
l’ère des technologies de l’information, il existe une explosion de
connaissance (Dan 12:4). Et lors de mes nombreuses recherches qui
touchent l’eschatologie, Dieu nous fait aussi découvrir ces choses
dont nous allons parler aujourd’hui.  
Dans toutes ces recherches, Dieu nous amène à constater avec
stupéfaction à quel point le monde est profondément séduit et
éloigné de Lui, et les sujets touchants le domaine de nos pratiques
religieuses ne font pas exceptions. Bien au contraire, cela fait
partie d’un tout.
Dieu veut que nous sachions aujourd’hui d’où proviennent ces choses.  
Choses qui ont émergé de la grande religion babylonienne à mystères,
celle qui régna sur le monde pendant plus de 1500 ans, et qui
revient maintenant en vigueur, sous d’autres noms et appellations.  
Choses dont le monde censément chrétien a conservé dans ses
pratiques par traditions, et transmises jusqu’à nous aujourd’hui de
génération en génération. Ce sont des choses que nous devons savoir
en tant que chrétiens, et nous avons la chance que Dieu nous fasse
découvrir ces choses-là.
Ce sont des choses que nous pouvons maintenant, aujourd’hui,
examiner calmement à la lumière des Saintes Écritures, et de
l’information qui est maintenant disponible avec une facilité
déconcertante. Il faut vraiment ne pas vouloir savoir, pour ne pas
voir.
Vous savez, je ne suis le seul, ni le premier à parler de ces
choses-là et à dévoiler la vérité sur ces pratiques. Il y a déjà
plusieurs ministères, à travers le monde, qui ont commencé à parler
et à dévoiler ces choses.
Mais, ce qui est intéressant de constater c’est que de plus en plus
de chrétiens, qui découvrent la vérité à ce sujet, abandonnent
complètement ces pratiques. Les vrais chrétiens, les enfants de
Dieu, remplis du Saint-Esprit, qui désirent sincèrement plaire à
Dieu, une fois qu’ils ont été éclairés sur le sujet, mettent ces
pratiques de côté.
Il y a des vérités qui ne sont pas toujours faciles à entendre, et
peut-être certaines choses pourront choquer certaines personnes.  
Mais si nous sommes vraiment de Christ, si nous Lui appartenons, si
nous sommes les vrais enfants de Dieu, nous allons vouloir savoir ce
qu’Il a à nous dire et nous allons vouloir pleinement connaître Sa
volonté et l’accomplir.
Noël est-elle une fête chrétienne?
 
·       L’Église du Nouveau Testament fêtait-elle Noël?
·       Jésus est-il vraiment né le 25 décembre?
·       Quelle est l’origine de la fête de Noël?
·       Qu’est-ce que la bible dit au sujet de Noël?
·       Qu’y a-t-il derrière les fêtes de fin d’année?
·       Que représente le père Noël?
·       Est-il recommandé pour un chrétien de fêter Noël?
Ce ne sont là que quelques questions parmi beaucoup d’autres encore
que l’on pourrait poser.
Mais, ne vous êtes-vous jamais arrêté pour réfléchir aux activités
intenses, souvent fébriles, qui marquent les derniers mois de
l’année (Halloween, Noël, le Nouvel An), pour vous demander :
« Pourquoi est-ce que je fais ça? »
« Que signifie tout cela? »
« Y a-t-il une raison à toutes ces choses? »
Peut-être, qu’au fond de vous-même, avez-vous déjà pressenti les
réponses, et évitez-vous de vous poser ces questions.  
Si vous n’avez pas peur de la réalité, et si vous cherchez toujours
à découvrir la vérité à tout prix, à plaire à Dieu et à vraiment
faire sa volonté, ouvrez grande vos oreilles parce que les
informations que vous allez entendre sont véridiques et très
révélatrices.
Bien qu’elle soit obscurcie et occultée, il se déroule une opération
de séduction de grande envergure, conduite par un ennemi dans
l’ombre depuis des siècles. Cette opération se nomme « les coutumes
très populaires des fêtes générales et plus spécifiquement des fêtes
de fin d’année »!
Que vous le croyiez ou non, toutes les coutumes qui entourent la
fête de Noël et bien d’autres n’ont absolument rien à voir avec
Jésus-Christ. Pires, elles tirent leurs origines de pratiques
religieuses païennes. Il est possible que cela scandalise certaines
personnes, mais c’est la vérité – et la preuve est facile à
démontrer.
Des douzaines de livres, d’articles et de preuves matérielles
démontrent ce fait – mais, pour des raisons diverses, soit nous n’y
avons pas fait attention ou soit nous n’en avons jamais entendu
parler ou, pire encore, soit que nous ne voulions pas du tout le
savoir!
En décembre, c’est la frénésie totale. La folle bousculade de
l’année commence pour Noël – les dépenses de cadeaux, de
victuailles, de boissons fortes, etc., l’envoi d’innombrables cartes
de vœux et des tas d’autres activités sociales, ainsi que de
nombreuses parties de bureau et d’associations.  
Le Nouvel An déclenche aussi des prises de bonnes résolutions –
peut-être qu’elles sont les mêmes depuis dix ans – afin de devenir
meilleur dans le courant de l’année! Mais qu’est-ce qui aide un vrai
chrétien à changer? Les bonnes résolutions du Nouvel An ou un cœur
humble et repentant qui s’abandonne à Jésus-Christ?  
Malheureusement, une fois que les coutumes sont mises de côté, que
les dîners somptueux ont été digérés, que le bel arbre de Noël a été
débarrassé et que les maux de tête d’un Nouvel An bien arrosé ont
disparu, beaucoup de gens se retrouvent devant les factures à payer
et face à une sensation de vide – le désappointement des lendemains
de fêtes!
Ce sont des choses que nous connaissons, mais rarement nous
cherchons à examiner les réponses aux embarrassantes questions
telles que ;
Pourquoi garnir un arbre,
décorer la maison de lampes,
de guirlandes,
de branches de sapin,
de rennes volants,
de gui – de houx
et d’associer, aux yeux des enfants, le père Noël à la naissance de
Jésus-Christ?
Quelle est la “logique” de cette saison?  
Pourquoi faire tinter des clochettes en entonnant des chants
d’allégresse qui sonnent creux, en disant “Paix sur la terre aux
hommes de bonne volonté”, alors que les manchettes des journaux sont
de plus en plus remplies de crimes violents, d’abus des enfants,
d’actes de terrorisme internationaux, de sécheresses et de famines,
de guerres persistantes et de déclin moral?  
Pourquoi des millions de chrétiens et des nations, censément
chrétiennes, perpétuent-elles des coutumes antichrétiennes qui font
de la vie un cercle sans fin d’activités sociales mondaines,
momentanément plaisantes, mais largement vide de sens et qui n’ont
rien à voir avec le plan de salut?  
Qui plus est, cela va même beaucoup plus loin que ce qui est
perpétué comme coutumes des fêtes de fin d’année.  
D’où tout cela vient-il?
Ouvrons notre cœur et notre esprit, et demandons humblement à Dieu
de nous montrer la vérité, Sa vérité, qui est pourtant toute simple.
 
Aussi, à ce stade-ci, il est une chose importante que nous devrions
absolument réaliser. Nous devons réaliser que nos sociétés sont
entièrement fondées sur des systèmes religieux très anciens.  
Tous les fondements des sociétés de ce monde ont été bâtis et sont
profondément ancrés sur des principes religieux qui n’ont aucun
fondement biblique et dont Dieu n’approuve pas la pratique.  
Beaucoup de pratiques que nous observons aujourd’hui dans plusieurs
domaines ont été subtilement et savamment intégrées dans nos modes
de vie, et sont maintenant généralement acceptées comme des choses
dont on ne voit plus de mal à les pratiquer.  
Cela fait partie des raisons pour lesquelles le monde est devenu ce
qu’il est à l’heure actuelle. Il y a un puissant danger qui nous
guette à tout instant dont Dieu nous met en garde. Prenons donc cela
au sérieux :
 
Car ce n’est pas contre la chair et le sang que nous avons à
combattre, mais contre les principautés, contre les puissances,
contre les princes des ténèbres de ce siècle, contre les
puissances spirituelles de la méchanceté dans les lieux célestes.
Ephésiens 6:12
Il s’agit de puissances et d’intelligences infiniment supérieures
à la nôtre, d’anges déchus qui ont des siècles, voire des
millénaires, d’expérience dans la séduction le mensonge et la
tromperie.
 
La Bible (Parole Dieu) demeure le seul véritable fondement de la
connaissance réelle de la volonté de notre créateur. Nous devons
donc nous y fier en tout point pour établir les fondements et les
critères de nos propres vies en tant qu’enfants de Dieu, autrement
nous ne serons pas mieux que les enfants du monde qui vont à la
perdition.
 
Nous verrons que souvent les choses dont nous disons « Bah, il n’y a
rien de mal là-dedans … » sont pour la plupart du temps beaucoup
plus mal qu’on ne le croit si on questionne Dieu sincèrement.  
Parce que Dieu, Lui, le sait. Qui donc connaît mieux la nature
humaine que Son créateur? Il sait que juste un peu de levain fera
lever toute la pâte. Il sait que le moindre petit compromis nous
enfoncera subtilement dans le péché et donc vers la mort.  
Nous verrons que nos critères de bien et de mal sont bien souvent
très éloignés de ceux de Dieu. Et Il nous éclairera et nous
convaincra si nous cherchons humblement Sa face. Si nous cherchons
vraiment à Lui plaire plutôt que de satisfaire notre propre chair.  
Maintenant, afin de commencer à entrer dans le vif de notre sujet
principal, et pour nous aider à mieux saisir tout cela, nous allons
devoir ouvrir notre imagination et notre esprit, et nous placer dans
un contexte.
Imaginons-nous au jour de l’ascension de Jésus, après sa
résurrection. Retournons quelques 2000 années en arrière, lorsqu’il
retourna vers le Père céleste. Levons les yeux… et ouvrons-les…
Fêter les anniversaires de naissance? 
Premièrement, l’église du Nouveau Testament, l’assemblée des
premiers chrétiens (l’ »ekklesia » du grec = littéralement « assemblée
appelée hors de » ), et les apôtres n’observaient aucunement ces
coutumes, ils ne fêtaient pas la naissance de Jésus-Christ.  
Absolument rien dans les écritures ne peut nous laisser croire à la
moindre allusion à ce fait! Non plus que Dieu nous commanderait de
le faire.
D’ailleurs la seule idée de fêter un anniversaire de naissance ne
faisait même aucunement partie des coutumes et traditions juives,
car ces pratiques étaient d’origines païennes. Bien au contraire,
comme nous le verrons, les premiers chrétiens ont rejeté ces
pratiques jusqu’au 4e siècle de notre ère.  
Si vous me le permettez ici, je vais maintenant ouvrir une
parenthèse sur le sujet de cette pratique aussi très populaire, mais
dont les origines sont tout aussi douteuses, non bibliques et non
chrétiennes. Il est très important, d’autant plus, de connaître la
vérité à ce sujet puisque fêter Noël se rapporterait à fêter
l’anniversaire de naissance de Jésus-Christ.  
Ce sont des choses dont j’avais souvent entendu parler et peut-être
en avez vous déjà entendus parler aussi. Mais, ce sont des choses
que j’ai pu découvrir et constater par moi-même lors de nombreuses
recherches sur les fêtes de fin d’années, et je crois sincèrement
que cela n’est pas le fait d’un hasard.  
Je me dois donc de vous partager ces informations, car il m’est
impossible, dans le contexte où nous sommes, de les garder sous
silence, parce que ce ministère a pour but de faire connaître la
vérité à tout prix.
Réalisons d’abord que sans la grâce du Salut notre naissance ne
représente pas grand-chose et notre vie n’a aucune importance
puisqu’elle est vide de sens réel. Elle est vouée au péché, puis à
la mort, cette condamnation qui pèse sur nos têtes, dès notre
naissance. Il n’y a pas de quoi fêter.  
En tant que chrétien nous savons tous que la bible établit
clairement cela. La plupart des gens croient que leur naissance est
spéciale. Alors, fêter cette journée peut sembler une bonne chose à
faire. Mais, qu’est-ce que Dieu pense de notre naissance, la bible
nous le dit-elle?
Dieu a inspiré Salomon, l’homme le plus sage que la Terre ait porté,
d’écrire :
Ecclésiaste 7:1 Une bonne réputation vaut mieux que le bon parfum;
et le jour de la mort, que le jour de la naissance.
 
À l’instar de Job qui passe tout le chapitre 3 du livre du même nom
à réprouver sa propre naissance à cause des péchés et du malheur qui
en résulte, le grand prophète Jérémie aussi, maudit le jour de sa
propre naissance.
Jérémie 20:14, 18 Maudit soit le jour où je naquis! Que le jour où
ma mère m’enfanta ne soit point béni! […] Pourquoi suis-je né pour
ne voir que tourment et qu’ennui, et pour consumer mes jours dans
la honte?
 
Pourquoi me réjouirais-je du jour de ma naissance dans ce monde de
malheur et de mort? Pourquoi me réjouirais-je d’être un pécheur et
de ne mériter que la mort?
Si, selon Dieu, le jour de notre mort est mieux que le jour de notre
naissance, et que certains des plus grands hommes de Dieu trouvaient
que le jour de leur naissance était loin d’être spécial, mais le
maudissant plutôt, alors à quel point spécial ce jour devrait-il
être pour nous?
Selon les Écritures, il ne s’agit pas d’un temps pour sauter de
joie, chanter, danser et s’attendre à recevoir des cadeaux,
simplement du fait que nous sommes nés à une date précise.  
Notre réjouissance devrait toujours être dans notre nouvelle
naissance, grâce au Salut de Jésus-Christ par lequel le Royaume de
Dieu sera rétabli et mettra fin une fois pour toutes aux malheurs de
ce monde, et dans lequel nous vivrons éternellement, alors que la
mort elle-même sera détruite.
Parce que nous sommes pécheurs, sans Lui, il n’y a absolument pas de
quoi se réjouir du jour de notre naissance.
L’apôtre Paul fut inspiré d’écrire :
« Car le salaire du péché, c’est la mort;… » (Rom. 6:23) La mort est
la pénalité du péché. Elle n’est pas dépeinte dans la Bible comme un
jour de triomphe ou, comme certains aiment à l’imaginer, « un ami
que l’on rencontre à la fin de notre vie ».  
Le péché est défini par l’apôtre Jean comme suit;
« Quiconque pèche, transgresse aussi la loi; car le péché est une
transgression de la loi. » 1 Jean 3:4
Paul écrit aussi, que « …tous ont péché, et sont privés de la gloire
de Dieu » (Rom. 3:23) et qu’« … il est réservé aux hommes de mourir
une fois, … » (Héb. 9:27)
Le péché conduit définitivement vers la mort. Il ne s’agit nullement
d’un événement à anticiper.
Il y a tout de même un très grand espoir et un très grand
soulagement et réconfort en Jésus-Christ par qui nous est donnée la
vie éternelle. Car il détruira la mort même, après avoir mis fin aux
malheurs qui accablent ce monde.
Ainsi, nous pouvons donc poursuivre et compléter notre lecture à
partir des versets que nous venons de voir :
 
« … mais le don de Dieu, c’est la vie éternelle en Jésus-Christ
notre Seigneur. » Rom. 6:23
« Or, vous savez que Jésus-Christ a paru pour ôter nos péchés, et
qu’il n’y a point de péché en lui. Quiconque demeure en lui, ne
pèche point; » 1 Jean 3:5-6
« …par la foi en Jésus-Christ … ils sont justifiés gratuitement par
sa grâce, par la rédemption qui est en Jésus-Christ » Rom. 3:22,24
« De même aussi Christ, ayant été offert une fois pour ôter les
péchés de plusieurs, apparaîtra une seconde fois sans péché à ceux
qui l’attendent pour le salut. » Hébreux 9:28
 
Et, qu’en sera-t-il de la mort?
Après cela viendra la fin, quand il remettra le royaume à Dieu le
Père, après avoir détruit tout empire, toute domination et toute
puissance; Car il doit régner jusqu’à ce qu’il ait mis tous ses
ennemis sous ses pieds. L’ennemi qui sera détruit le dernier, c’est
la mort;
Or, quand ce corps corruptible aura été revêtu de
l’incorruptibilité, et que ce corps mortel aura été revêtu de
l’immortalité, alors cette parole de l’Écriture sera accomplie: La
mort est engloutie en victoire. O mort! où est ton aiguillon? O
sépulcre! où est ta victoire? 1 Corinthiens 15:24-26, 54-55
 
Voyez-vous, nous pouvons donc réaliser que, sans Jésus-Christ,
notre naissance et notre vie sont sans grande valeur et pas trop
spéciaux.
 
Qu’en est-il maintenant des pratiques qui se rattachent à ces
célébrations d’anniversaire de naissance? Est-ce que Dieu
approuverait cela? Est-ce vraiment si inoffensif que ça?
Voyons quelques informations à ce sujet…
 
«  Les différentes coutumes avec lesquelles les gens célèbrent
aujourd’hui les anniversaires de naissances ont une très longue
histoire. Leurs origines se trouvent dans les domaines de la magie
et des religions. Les coutumes qui consistent à souligner ce jour
avec des félicitations, des cadeaux et une célébration accompagnée
de chandelles, étaient pratiqué dans les temps anciens. Elles
avaient pour but de protéger contre les démons la personne qu’ont
célébrait, ainsi que de lui assurer sa sécurité tout au long de
l’année suivante… Jusqu’au 4e siècle, le christianisme rejetait la
célébration des anniversaires de naissances, car il s’agissait de
coutumes païennes. » Le périodique allemand « Schwäbische Zeitung » 4
avril, 1981 page 4
 
«  Les Grecs (ainsi que les Romains éventuellement) croyaient qu’à
la naissance on se voyait octroyer un esprit ou démon protecteur
qui assistait la naissance et nous protégeait durant toute notre
vie (anges gardiens – culte des anges). Cet esprit bénéficiait
d’une relation mystique spéciale avec le dieu de la journée à
laquelle on était né. «  Le livre “The Lore of Birthdays” (New
York, 1952) par Ralph and Adelin Linton, pages 8
 
«  La célébration d’anniversaire de naissance d’une personne était
donnée en l’honneur de L’Ange-Gardien ou dieu du jour (saint
patron - Romain), dont l’autel était décoré de fleurs et de
couronnes de fleurs; Des sacrifices étaient offerts au dieu de la
fête, les amis offraient des souhaits et apportaient des cadeaux.
«  Horst Fuhrmann, professeur d’histoire médiévale de l’université
de Regensburg – Le périodique allemand „Süddeutschen Zeitung“
 
Ne devons-nous pas nous sanctifier et nous séparer du monde en tant
que chrétiens? Ne devons-nous pas, en aucun cas, comme nous le
verrons plus loin, imiter la façon dont les nations honorent leurs
dieux?
Donc, comme nous pouvons le constater maintenant à la lumière de ces
informations, loin d’eux (les disciples) était l’idée de fêter
l’anniversaire de naissance de Jésus. Cela aurait même été un
sacrilège pour eux! Voilà qui règle la question de l’idée même, pour
les premiers chrétiens, de célébrer ou commémorer de quelque façon
que ce soit la naissance de Jésus-Christ.
 
Mais encore, Jésus est-il né le 25 décembre?
Rien ne saurait être plus éloigné de la vérité, car en réalité
Jésus-Christ est né en la saison d’automne. On a cru longtemps qu’il
naquit au début de l’hiver – le 25 décembre, mais cela est faux.  
Examinons un extrait des commentaires bibliques d’Adam Clarke
(érudit chrétien du 19e siècle reconnu à travers le monde) auteur,
entre autres, du « ADAM CLARKE’S BIBLE COMMENTARY » et de bien
d’autres écrits et sermons.
 
« C’était la coutume chez les Juifs de sortir leurs troupeaux dans
les déserts vers la Pâque (début du printemps), pour ne les
ramener en étable qu’au début de la première pluie. » Adam
Clarke’s Bible Commentary, volume 5, page 370, New York edition
 
Les premières pluies débutaient entre le début et le milieu de
l’automne. Poursuivons notre lecture…
 
« Tout le temps qu’ils étaient dehors, les bergers les
surveillaient nuits et jours. Alors… la première pluie débutant
tôt au cours du mois de Marshesvan, qui répond en partie à nos
mois d’octobre et novembre (débutant parfois en octobre), nous
constatons que les moutons étaient gardés dehors durant toute la
saison d’été. Et alors que ces bergers n’avaient pas encore ramené
en étable leurs troupeaux, c’est un argument présomptif qu’octobre
n’était pas encore entamé, et que, conséquemment, notre Seigneur
n’est pas né le 25 décembre, au moment où aucun troupeau ne se
trouverait dans les champs; pas plus qu’Il ait pu naître plus tard
que septembre, alors que les troupeaux se trouvaient dans les
champs pendant la nuit. Sur ces bases seulement, nous devrions
abandonner l’idée d’une nativité en décembre. » Adam Clarke’s
Bible Commentary, volume 5, page 370, New York edition (suite)
 
Dans l’évangile de Luc au chapitre 2 verset 8 nous pouvons lire que
lors de la naissance de Jésus-Christ, il y avait dans la même
contrée des bergers qui couchaient aux champs, et qui gardaient
leurs troupeaux pendant les veilles de la nuit.
 
« …il y avait dans la même contrée des bergers qui couchaient aux
champs, et qui gardaient leurs troupeaux pendant les veilles de la
nuit. » Luc 2 : 8
Notez ici, les bergers couchaient aux champs, chose qui ne se
produisait pas en décembre.
Deux passages bibliques nous montrent de façon très claire que
l’hiver est la saison des pluies au pays d’Israël et que les bergers
ne pouvaient pas tolérer de passer les nuits dans les champs durant
cette saison.
Il s’agit de :
Cantique des Cantiques 2:11 Car voici, l’hiver est passé, la pluie
a cessé, elle s’en est allée;
Et
Esdras 10:9-13 Ainsi tous ceux de Juda et de Benjamin
s’assemblèrent à Jérusalem dans les trois jours; ce fut au
neuvième mois, le vingtième jour du mois; et tout le peuple se
tint sur la place de la maison de Dieu, tremblant au sujet de
cette affaire, et à cause des pluies. […] Séparez-vous des peuples
du pays et des femmes étrangères. […] Oui, il faut que nous
fassions comme tu dis. Mais le peuple est nombreux, et c’est le
temps des pluies, et il n’y a pas moyen de se tenir dehors; et ce
n’est pas une affaire d’un jour, ni de deux; car nous sommes un
grand nombre qui avons péché dans cette affaire.
 
Selon toute probabilité, Jésus-Christ serait né à l’automne. On peut
prouver ce fait par une explication qui serait assez longue et assez
technique, mais cela nous éloignerait trop de notre sujet pour
l’instant. Dès lors, que nous ayons pu établir, clairement et hors
de tout doute, qu’il n’est aucunement possible qu’Il soit né en
décembre est suffisant pour le but recherché à ce moment-ci.  
Maintenant que nous comprenons que la date de naissance de
Jésus-Christ est loin d’être le 25 décembre, nous pourrons plus
facilement saisir la portée de la séduction et de la tromperie qui
entourent l’origine et l’observance des coutumes reliées à cette
période de l’année.
De plus, pensez-y! Cela ne fait aucun sens quand on s’arrête à y
penser. Pour eux, les apôtres et les disciples, ils avaient suivi
Jésus pendant trois ans et demi, ils avaient été enseignés
directement par lui, ils avaient mangé et bus avec lui, ils avaient
pratiquement vécu avec lui.
Ils avaient aussi assisté à son exécution, été témoins de sa
résurrection, puis avaient aussi reçu encore d’autres enseignements
et instructions précises sur ce qu’ils devaient faire maintenant.  
Puis, ils venaient de voir Jésus monter au ciel sous leurs yeux, et
ce Jésus ressuscité des morts et glorieux prenait maintenant place à
la droite du Père.
Ils avaient maintenant à cœur d’accomplir l’œuvre du Seigneur,
d’annoncer l’Évangile aux nations – et fêter la naissance de
Jésus-Christ n’en fais pas partie — et ils avaient la ferme
espérance de son retour comme Il l’avait promis, voilà ce qui était
principalement observé par l’Église apostolique. Il nous est
important de garder cela à l’esprit.  
Nous allons voir que les coutumes observées lors des fêtes de fin
décembre début janvier, étaient déjà observées des siècles avant la
naissance de Jésus. Nous allons voir aussi, dans les Saintes
Écritures, que Dieu nous met formellement en garde de ne pas imiter
les nations et de nous tenir complètement à part du monde et de ce
qu’il contient.
Nous verrons que Dieu condamne sévèrement certaines pratiques des
nations païennes qui se sont perpétuées jusqu’à nos jours avec la
fête de Noël.
Donc, nous examinerons non seulement le contexte historique des
faits, mais nous examinerons aussi scrupuleusement les Saintes
Écritures en rapport avec tout ce qui touche notre sujet.
Se faisant nous appliquons donc un principe même des Écritures que
nous trouvons dans 2 Timothée 3:16 à savoir que « toute l’Écriture
est Divinement inspirée, et utile pour enseigner, pour convaincre,
pour corriger, pour former à la justice; »
Maintenant, voyons et examinons, comme entrée de jeux, quelques
versets bibliques qui, en le regardant de très près, laissent très
perplexe… mais préparez-vous à être très étonné…
 
L’arbre de Noël?
 
Jérémie 10: 1-4 Écoutez la parole que l’Éternel a prononcée pour
vous, maison d’Israël. 2 Ainsi a dit l’Éternel: N’apprenez pas les
façons de faire des nations; et ne craignez pas les signes des
cieux, parce que les nations les craignent. 3 Car les statuts des
peuples ne sont que vanité. On coupe le bois dans la forêt; la
main de l’ouvrier le travaille à la hache; 4 On l’embellit avec de
l’argent et de l’or; on le fixe avec des clous et des marteaux,
pour qu’il ne vacille point.
 
Examinons maintenant un autre passage 2 Rois 17:10 sous différentes
traductions;
 

2 Rois 17:10

Ostervald - Ils se dressèrent des statues et des emblèmes d’Ashéra
sur toute haute colline et sous tout arbre vert,
Darby - et ils se dressèrent des statues et des ashères sur toute
haute colline et sous tout arbre vert,
King James - And they set them up images and groves in every high
hill, and under every green tree:
Louis Segond - Ils se dressèrent des statues et des idoles sur
toute colline élevée et sous tout arbre vert.
 
Le mot en surbrillance dans les différentes traductions est le même
mot dans le texte oroginal en hébreux ancien et ce mot est asheyrah.  
Remarquez aussi que le contexte parle aussi d’ »arbre vert »
Selon un dictionnaire biblique, sa définition représente un arbre
idolâtré, un arbre sacré, un poteau ou mat sacré planté près d’un
hôtel. Cela représente aussi des petites idoles sculptées et placées
sous des arbres, des arbres sacrés, des arbres tenant une place
spéciale.
Tout chrétien avisé et chercheur de vérité peut facilement trouver
toute cette information avec une bonne concordance et quelques bons
dictionnaires bibliques.
 
Trouve-t-on d’autres allusions à cette Ashéra dans la Bible ?
 
Exode 34:13 Mais vous démolirez leurs autels, vous briserez leurs

Publié dans Apostasie

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Z
oh ! mon ami, mon frère, je pense, que le Seigneur te bénisse pour cet article, et si tu me le permet, je le mettrais dans mon blog.<br /> Je ne pratique pas ces fêtes qui insulte mon Dieu, ce sont les fêtes du diable, et ceux qui les fêtent sont aussi du diable.<br /> Aussi, tu viens de me rappeler qu'en ces temps, nous devons nous occuper de dénoncer ces pratiques.<br /> Paix sur toi, un frère de Jésus, zorobabel.
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